Hier soir ma maîtresse m’a dit que si j’avais fait l’effort de trouver une personne pour modifier ma culotte en plastique que j’avais échoué sur le fait qu’elle ne sera pas à ma taille, cela méritait une nouvelle humiliation et qu’elle allait y réfléchir dans les prochains jours. Mais ce n’était pas sans compter la vie de tous les jours et les opportunités qui pourraient se présenter à elle et qu’elle ne laisserait pas passer.
Depuis une semaine tous les soirs je mets une de mes nouvelles couches, une culotte en plastique blanche ou rose selon l’humeur de ma maîtresse et mon body blanc à liseré rose, j’ai ma tétine en forme de bite en permanence dans la bouche. Et bien entendu mon plug rose bien en place. Par contre je ne porte plus ma cage à la maison. ma nouille ne bandant plus ma maîtresse préfére m’humilié en la voyant pendouiller entre mes jambes.
Je dois boire tous les jours mes deux litres d’eau pour bien mouiller ma couche la nuit et le matin au réveil. Si ces couches sont bien absorbantes vu le nombre de pipi que je fais dedans elles sont bien lourdes au réveil et surtout bien trempées. Je dois avouer ressentir un vrai plaisir à me lever et sentir cette couche lourde et trempée entre mes cuisses.
Ma maîtresse est en vacance cette semaine et comme elle part ce wk elle m’a demandé de prendre mon vendredi matin pour préparer sa valise, faire son repassage, pendant qu’elle se préparait pour se faire belle pour son wk.
Je me suis donc levé à 6h30 comme tout les matins pour lui préparer son petit déjeuner.
Certaines choses ont changé aussi pour moi le matin je dois boire à ses pieds mon biberon de bouillie, assise par terre dans ma couche bien humide. De temps en temps elle me caresse la tête en me disant que je suis une vilaine petite pisseuse et je prends une gifle sans aucune raison. Puis elle va prendre sa douche tandis que moi je débarrasse la table.
Ce matin étant en vacance elle s’est levé vers 9h00 son petit déjeuner était bien entendu prêt. Je suis resté assise par terre pour boire mon biberon de bouillie. Mais ce matin elle avait envie de jouer avec moi, elle m’a fait asseoir sur le plan de travail, j’étais donc devant elle avec mon biberon dans la bouche.
Elle a ouvert son déshabillé en satin blanc, elle caressait ses seins en me disant tu aimerais bien prendre ta tété hein ma chérie.
Je fais oui en hochant de la tête.
Elle prend mon biberon de ma bouche en fait sortir de la bouillie sur son sein droit, puis elle le caresse avec,
humm il doit être meilleur comme cela à téter ma chérie.
Tu veux le prendre dans ta bouche, cela fait au moins six mois que tu n’as pas touché mes seins ma petite pisseuse.
Elle se lève, s’approche de moi elle me tend son sein je me jette dessus.
Je prends une gifle,
doucement sale petite gourmande.
Je sors ma langue lèche ce sein puis prend le téton entre mes lèvres et commence à le téter,
Oui c’est bien ma chérie dit ‘elle en pressant sa main sur ma couche, j’aime ce contact d’une couche bien mouillée sur mon sexe. Je sens que je mouille mais je ne bande pas.
Elle fait pareil sur l’autre sein. C’est un matin incroyable pour moi cela fait longtemps que je n’ai pas eu un vrai moment de tendresse avec ma maîtresse.
Bon il est temps que j’aille prendre une douche, tu viens avec moi tu t’amusera par terre pendant que je me douche. Je la suis dans la salle de bain. Elle me donne une petite poupée c’est curieux car depuis un mois il y a des jouets de petite fille dans toutes les pièces de la maison.
Elle enlève son déshabillé, elle est nue devant moi, elle a presque son sexe sur mon nez, ce matin elle a l’âme à me torturer. Elle entre dans la douche, elle se savonne, ses mains parcours son corps, ses seins pointent, ses doigts disparaissent dans son sexe et son petit trou.
Moi je sens mon sexe mouillée de plus en plus, et je le sens bizarre comme s’il était bandé mais tout mou. C’est sur je ne serais plus jamais un homme.
Elle se rince et sort de la douche.
Le spectacle t’a plu ma chérie tu as les yeux qui brillent de désir. Et ton petit clito il en est où me dit ‘elle en appuyant sur ma couche.
Ouai ouai oaui je crois que l’on a bien fait de faire de toi une petite fille, il n’y a rien d’un mâle dans cette couche.
la sonnette retenti, j’ai le cœur qui bat vite qui peux bien venir ce matin, ma maîtresse s’en rend compte,
Non je t’assure je n’attends personne. elle sort de la salle de bain,
oh c’est le facteur il y a la camionnette jaune dans la rue. Superbe ça doit déjà être mes dessous Aubade que j’ai commandé sur le net. Je ne les attendais pas aussitôt.
Va ouvrir, je ne suis pas présentable,
Heu moi non plus maîtresse,
je suis debout, j’ai mon body ma couche lourde entre les jambes et l’on voit la culotte en plastique rose à travers les pressions du body.
Le facteur sonne une deuxième fois,
Va ouvrir je te dis.
Je la regarde en la suppliant de ne pas me faire cela pas à la maison et devant un inconnu. Je prends une gifle s’il part sans me laisser mon colis je te jette dehors et je referme la porte derrière toi tu as compris.
Je me dirige vers la porte, je transpire sous les bras, j’ai chaud je sens que je suis rouge de honte que mon cœur va exploser. Je suis à la porte, je tourne la clé, mes mains tremble, mes jambes aussi, j’entrebâille légèrement la porte en me mettant de coté pour ne laisser passer que ma tête.
Bonjour c’est pourquoi ?
j’ai un colis pour madame ….
Oui je vais le prendre,
il me faut une signature.
La je me rends compte que je ne peux plus rester derrière la porte et d’ailleurs ma maîtresse est venu à coté de moi pour me pousser devant la porte.
je suis pour la première fois en body avec ma couche qui se voit et ma culotte en plastique rose, devant un inconnu. il me tend un papier à signer, je le signe sans regarder le facteur, il me donne le colis. Je ne sais plus où me mettre.
Et la j’entends, tu as fini de d’exhiber devant le monsieur il a surement d’autre livraison à faire.
Ma maîtresse qui a remis son déshabillé me pousse de la main, prend le colis de mes mains et dit au facteur
désolé monsieur, ce n’est pas toujours facile de vivre avec un mari qui a de drôle de fantasme comme vous pouvez le voir.
Ce n’est rien madame au revoir.
Ma maîtresse referme la porte. Moi je me tient contre le mur car j’ai l’impression que je vais m’évanouir.
Tu vois ce n’étais pas si difficile que ça de te montrer. J’ai une idée je vais commander d’autres choses sur internet et les faires livrer en colissimo, comme mes dessous et tu seras la pour les recevoir. Nous verrons si c’est le même facteur, c’est drôle non ma chérie ?
Moi je ne trouve pas cela drôle du tout j’ai cru que j’allais mourir de honte et d’une crise cardiaque.
Regarde en plus comme tu es belle, elle me montre son téléphone, elle a fait quelques photos pendant que je prenais le colis, je me rends compte du ridicule de la situation et j’en fais pipi dans ma couche.
Voilà ce que j’ai vécu ce matin. J’en suis encore toute tremblante.
Marc la pisseuse en couche.