mise à jour le 29/11/2019
Un soir en rentrant à la maison ma femme me fait venir dans le salon.
Sur le sol il y a une couche toute mouillée et le plus gros plug de notre collection.
- Assis toi mon cocu, et quand je dis assis toi, ça veut dire assis toi sur le plug, en récompense tu pourras mettre cette couche dans laquelle
j’ai pissé une bonne partie de l’après-midi.
- Comme ça, sans me préparer, il est gros.
- Je m’en fous de ton avis, déshabille-toi et enfonce-toi ça dans le cul
Je me déshabille, ma petite nouille pendante entre mes cuisses, je pose mon cul sur ce plug, et doucement j’essaie de me le mettre dans le cul.
Il a du mal à passer, la base qui est très large me fait mal et il finit par rentrer avec une douleur terrible.
J’en ai les larmes qui me montent aux yeux
- Tu vois ma petite pédale tu en pleures de joie.
Elle sait bien que ce n’est pas le cas.
Mon cul posé sur la couche, je sens sa pisse mouiller mes fesses.
- Reste comme ça, ne ferme pas la couche.je suis sur que tu vas bander quand tu vas entendre ce que j’ai à te raconter. Enfin bander je me
comprends ta nouille sera un peu moins molle que d’habitude.
Je suis assis devant le canapé, elle est à deux mètres de moi, elle écarte les cuisses, je vois son sexe, sa magnifique chatte épilée, mais
contrairement à d’habitude elle a un petit triangle sur le haut de son pubis.
Elle me regarde en souriant, sa main rejoins son sexe, elle passe un doigt dessus puis dedans.
Je la vois tirer sur quelques choses. Et apparaît trois bouts de capote avec un nœud.
- Je ne suis pas la pour te raconter comment je les ai remplis ces trois capotes, mais sache qu’un autre collègue de mon bureau a appris
que je te faisais cocu et il a voulu en profiter entre midi et deux. Comme c’est un chaud lapin avec une belle queue je lui ai offert mes trois trous.
Je les ai gardé au chaud pour toi mon cocu.
- Ne t’en fait pas je te dirais comment il l’a su et surtout comment il m’a baisé et où.
Je suis estomaqué par ce qu’elle vient de me dire et sur un ton comme si cela était normal.
- Pour l’instant je voulais te dire comment c’était passé ma soirée avec ma copine Juliette et une de ses amies.
Elle prend entre ses doigts le nœud de l’une des capotes, elle l’a sort de sa chatte, elle me l’a montre, me l’a fait lécher.
C’est un des seul moyen que j’ai encore de pouvoir goûter son jus.
Elle pose le préservatif sur la table. Je la vois attraper une aiguille posé sur le côté. Elle fait remonter le sperme en dehors du réservoir,
elle fait plein de petits trous avec l’aiguille.
Elle me l’a tends,
- Met la dans ta bouche et tète pendant que je te raconte ma soirée entre fille.
Je saisie la capote, je mets le réservoir dans ma bouche et je fais descendre le sperme dedans et ensuite je tète. Vu le nombre de petit trous
qu’elle a fait dedans, ça coule vraiment doucement sur ma langue.
Elle prend mon portable le met sur dictaphone, le pose sur la table basse à côté d’elle, comme cela elle est sur que je vais relater réellement c
es propos.
elle relève ses jambes et les plies sous ses fesses.
- le soir ou nous t’avons laissé ton dîner dans ta couche à la maison, je suis sortie avec Juliette, nous sommes allées chez elle.
Depuis quelques temps elle me parlait d’une amie Sylviane, plus âgée qu’elle mais avec qui elle aimait passé du temps dans ses bras et qui
l’avait doucement amené au plaisir entre fille. Elle a voulu me la présenter.
Je peux te dire qu’elle a bien fait, nous avons passé une merveilleuse soirée toutes les trois et depuis nous nous sommes revues plusieurs fois
avec et sans Juliette.
Nous étions dans l’appartement de Juliette quand a retenti la sonnette.
Juliette est allé ouvrir.
Une femme d’une bonne soixante d’année et apparue ( maintenant je sais qu’elle a 66 ans) blonde coupe carré, un peu ronde, mais avec une allure,
une vraie prestance.
Elle portait un manteau qui laisse voir, une jupe en cuir à mi-cuisse, un chemisier noir ou l’on devinait une forte poitrine et quelques bourrelets qui
passaient par dessus sa jupe.
Juliette lui enlève son manteau, et je me lève pour que Juliette nous présente.
- Je te présente Sylvaine, une amie très chère et qui m’a appris beaucoup sur moi même et mes désirs comme je t’en ai vaguement parlé.
- Bonsoir, alors comme ça c’est vous qui nous privés de notre Juliette,
- Bonsoir, oui désolé si je l’ai accaparé ces dernières semaines, mais nous nous sommes trouvés tellement de point en commun et puis…….
Je dois bien avoué que nous nous entendons très bien toutes les deux sur tout les domaines.
- Vous voulez dire que mon éducation à porter ses fruits ? Quand j’ai connu Juliette c’était une jeune fille prude qui ne connaissait que les garçons
et sans vraiment de conviction. Je n’ai eu aucun mal à la convertir au plaisir entre femme.
- Alors oui vous pouvez être fière de vous c’est une vraie réussite.
- D’ailleurs ma chérie, tu peux te mettre à l’aise pour me recevoir comme d’habitude, je ne crois pas que cela va gêner ton amie puisque vous avez
déjà partager bien des choses entre vous.
Juliette nous sert un apéritif avant de disparaître pour se changer. Pendant ce temps nous échangeons quelques banalités.
Je lui dis que je suis marié mais avec un homme qui ne sait pas me satisfaire et que les hommes qui savent le faire, ne connaissent rien au plaisir
que l’on peut donner avec autre chose qu’une bite entre les jambes.
Sylvaine et d’accord avec moi et cela fait bien longtemps qu’elle ne s’intéresse plus à ces messieurs.
Juliette est revenu dans le salon, elle portait une tenue de pyjama en satin blanc, mais on aurait dit qu’elle était trop petite pour elle, car sa poitrine
pouvait faire exploser les boutons du haut du pyjama, le pantalon lui rentrée dans sa petite chatte et lui arrivait à mi mollets.
- tu es toujours aussi belle ma chérie, tourne sur toi.
Juliette s’exécute, et le pyjama sépare aussi bien son joli petit cul que les lèvres de sa chatte.
- Alors verdict, me dit Sylvaine en me regardant.
- Splendide cela lui va comme un gant et ce pyjama épouse parfaitement les lignes si jolies de son corps.
- Merci tu vois ma chérie, tu es à croquer. Vient approche
Juliette s’approche de Sylvaine, elle se met à genoux à côté d’elle et elle pose sa tête sur les cuisses de Sylvaine.
- C’est ma petite chérie, j’adore les jeunes filles d’une vingtaine d’années et malgré ses 40 ans, elle fait beaucoup moins comme cela.
- c’est vrai que je dois reconnaître qu’elle a un côté jeune fille qui est très excitant.
Sylvaine caresse doucement les cheveux de Juliette. Elle passe sa main sur sa joue ses doigts s’enfilent doucement dans sa bouche.
Juliette les suces, les lèches. Elle frotte doucement son entre jambe contre le tibia de Sylviane.
Moi qui commence à bien la connaître je vois qu’elle se donne du plaisir et qu’il monte tout doucement.
Je les regarde faire toutes les deux. Je n’ose les interrompre en continuant la conversation.
Le souffle de Juliette s’accélère son bassin bouge aussi un peu plus vite. Et en suçant les doigts de Sylvaine, elle attrape ses cuisses à deux mains
et joui progressivement dans les bras de Sylvaine.
Sylvaine la cajole encore un peu plus.
- On dirait bien que ta mamie t’a manqué un petit peu quand même.
- Oui c’est vrai, j’aime bien jouir comme ça doucement dans tes bras.
Sylvaine me regarde,
- j’espère que tu n’es pas gêné et que tu ne m’en veux pas ?
- Pourquoi je serais gêné, nous faisons la même chose à la maison et je ne suis nullement jalouse, Juliette est libre de prendre du plaisir avec sa mamie.
Juliette se remet paisiblement de ses émotions, en se passant les mains dans sa superbe chevelure noire. Des cheveux qui lui arrivent à la moitié du dos.
Elle est très sexy en faisant ce geste.
Vous restez toutes les deux à dîner dit ‘elle, en se levant.
Je ne peux m’empêcher de regarder son entre jambe et son pantalon de pyjama en satin et tout mouillé.
Sylviane à le regard aussi entre les cuisses de Juliette, et elle sourit.
- Les filles j’ai une idée, si on se faisait une soirée pyjama entre nous.
Juliette crie au oui, oui c’est une bonne idée.
Je les regarde toutes les deux car, leurs deux visages sont dans ma direction.
- Ce serait avec plaisir, mais je n’ai pas prévu de rester et je n’ai aucune affaire pour une soirée pyjama.
- ça ce n’est pas le plus grave, la garde robe de Juliette est bien rempli, c’est moi qui la gère. Comme tu es de la même taille que Juliette mais juste
un peu plus grande, ce pyjama t’ira à merveille. Moi les miens sont dans son armoire.
Juliette et Sylvaine me regarde.
- Alors c’est ok me demande t’elles en cœur.
- Comment refuser une telle invitation, ok je reste, de toute façon ce n’est pas mon cocu qui va m’attendre à la maison. En parlant de ça Juliette je
peux me connecter avec ton ordi, que je vérifie ou il en est ?
Sylvaine me regarde,
- tu le surveilles à distance ?
- Oui nous lui avons préparé une surprise et j’aime voir s’il m’obéis.
- Ok pendant ce temps là nous allons chercher une tenue pyjama pour la soirée, on se retrouve dans la chambre de Juliette
- très bien à tout de suite.
Ma femme me regarde,
C’est donc à ce moment là que je me suis connecté et que je t’ai vu manger des coquillettes à la pisse. Tu as eu l’air d’aimer ça. j’ai fait quelques
captures d’écran pour ton blog. Je vois que tu as aussi l’air d’aimer ce que je te raconte regarde ta nouille tente de se dresser.
Son regard posé sur ma nouille la fait sourire
- Qu’est ce que ça va être alors pour la suite.
Je les ai rejoins dans la chambre, elles étaient toutes les deux allongées sur le lit et en train de s’embrasser en se caressant les seins pour Juliette et
l’entre jambe pour Sylvaine.
Je suis resté appuyé contre la porte à les regarder. C’est curieux mais on aurait dit une petite fille avec sa nounou, cela m’a fait penser à toi et aux vieilles
que je t’ai obligé à baiser pour te faire garder en bébé.
Quand elles se sont aperçu de ma présence, elles se sont tournées vers moi.
Juliette c’est levé du lit et m’a montré un pyjama en satin rose.
- tient celui là c’est pour toi, l’autre c’est pour Sylvaine.
L’autre pyjama posé sur le lit était en satin crème.
- je vais préparer le repas je vous laisse vous changer les filles à tout de suite.
Juliette sort de la chambre et je suis seule avec Sylvaine. j’ai la net impression que depuis le début de la soirée, elle me dévisage, enfin je devrais dire,
elle me déshabille du regard.
- Je vois que toi aussi tu aimes avoir ta petite chatte bien enveloppé, ton legging rentre parfaitement entre tes lèvres.
- Oui c’est vrai c’est Juliette qui me demande de m’habiller comme cela mais maintenant je comprends mieux pourquoi.
- approche je vais t’aider à te mettre en pyjama, tu en feras de même après avec moi.
Je fais quelques pas et je me trouve juste devant elle. En étant assise sur le lit, elle est juste à hauteur de mon sexe.
Sa main se pose sur ma cuisse et glisse directement entre mes cuisses, elle appui sur mon entre jambe.
- dit donc c’est mouillée, ça t’a plus de me voir m’occuper de ma Juliette
- difficile de dire non, je suis trempée.
Elle m’aide à enlever mon pull, je dégrafe mon soutien gorge, je suis les seins à l’air devant elle.
Elle déboutonne mon pantalon et je baisse mon legging, je suis maintenant en petite culotte devant elle.
Sylvaine pose ses mains sur mes hanches, elles sont douce, et ce contact me donne quelques frissons.
elle prend les côtés de mon string et elle le fait descendre doucement contre mes cuisses.
Elle m’aide à sortir une jambe puis l’autre.
Je ne saurais vraiment décrire la sensation que j’ai ressenti quand je l’ai vu m’enlever ma petite culotte.
Ce n’est pas la première fois qu’une femme me déshabille, mais c’est la première fois qu’elle est bien plus âgée que moi et qu’elle est hors de mes
critères de sélection. Âgée avec beaucoup de forme c’est plutôt pour toi que pour moi.
Son regard était posé sur mon entre jambe
- Encore une chatte toute épilée, pour plaire à ces messieurs, moi je trouve que cela fait trop petite fille, je préfère un sexe avec des poils,
ou un joli triangle, cela fait plus jeune femme.
Je regarde ma femme et je comprends maintenant pourquoi sa jolie petite chatte porte aujourd’hui un beau triangle brun.
Elle me souri et continue son récit
Une de ses mains se pose sur mes fesses et l’autre entre mes cuisses et ses doigts filent directement dans ma chatte trempée, ils n’ont eu aucun
mal à se frayer un chemin dans cet antre tout mouillé.
Elle a bougé ses doigts, j’ai pris mes seins dans mes mains, j’ai tiré sur les pointes. Et j’ai joui comme ça debout devant elle en trente seconde à peine.
Je vois ma femme écarter les cuisses, se caresser, ses doigts pénètrent sa chatte, ils sortent trempée et elle les lèches un par un et à ce moment là,
j’éjacule par petite saccade dans la couche sur laquelle je suis assis.
Ma femme rit,
- j’en étais sur pauvre petite bite qui se répand sans qu’on la touche.
Tu peux fermer ta couche, je l’ai assez vu cette nouille de minable.
Elle sort une autre capote pendant que je ferme la couche sur moi et me la donne à téter après avoir fait les mêmes petits trous dedans.
Elle me l’a tend, je la mets dans ma bouche et elle reprend son récit.
Sylvaine a pris le pyjama qui m’était destiné, elle m’a fait mettre le haut en premier. Elle en a largement profiter pour toucher et caresser mes seins.
Les pointes étaient déjà bien dressé vu comme je venais de jouir.
Elle a fermé les boutons du haut du pyjama. Cela n’a pas été facile, comme j’ai plus de poitrine que Juliette il a fallu tirer dessus. Du coup on voyait bien
mes seins à travers et c’était comme si les pointes voulaient déchirer le satin.
Ensuite elle m’a mis le pantalon et la idem, elle a tiré dessus pour qu’il moule parfaitement ma chatte trempée et mon petit cul.
Elle m’a fait tournée sur moi même pour me voir, elle a caressé mes fesses en laissant glisser une nouvelle fois ses doigts entre mes cuisses.
Puis de nouveau face à elle, elle m’a tiré par la main, m’a fait m’accroupir sur ses genoux.
J’ai cru que le pyjama allait se déchirer tellement il me rentrait dans les fesses.
Elle a tendu ses lèvres vers les miennes et nous nous sommes embrassées. Nos lèvres se sont d’abord timidement touchées, puis un peu plus,
sa langue est venue caresser mes lèvres, puis la mienne à rejoint la sienne et enfin nos bouches se sont collées l’une à l’autre et nos langues se sont
mélangées pour mon plus grand bonheur.
Ces mains ne restaient pas inactif, elles me caressaient les seins et les fesses.
Elle s’est allongé sur le lit, je l’ai accompagné dans son mouvement sans que nos bouches ne se soient décollées l’une de l’autre.
J’étais sur elle et je sentais sa poitrine contre la mienne. Je ne sais pas combien de temps à durer ce baiser.
Mais c’est Juliette qui nous en a sorti en rentrant dans la chambre avec un
- alors les filles, on s’amuse sans moi.
Doucement Sylviane me fait tourner sur le lit. En face de nous Juliette nous regarde toute souriante.
- Je suis contente que vous vous entendiez bien toutes les deux.
- Oui moi aussi dit Sylviane, j’ai l’impression que j’ai maintenant deux belles jeunes filles pour s’occuper de leur mamie.
Juliette à le regard posé sur mon sexe,
- mamie ne te laisse pas indifférente non plus, tu es trempée ma cochonne.
- Oui je sais, ce n’est pas bien, mais je n’y peux rien tu me connais à peine on m’effleure que je ne sais plus m’arrêter.
- bon finissez de vous préparer le dîner est bientôt prêt.
Juliette sort de la chambre, Sylvaine me regarde, je crois que c’est à ton tour de me mettre en pyjama ma belle.
le 29/11/2019
Elle me prend dans ses bras
- tu n’as jamais eu de mamie dans ton lit j’imagine ?
- non effectivement et je dois t’avouer quelque chose, j’espère que
tu ne le prendra pas mal, mais tu es le type de femme que je cherche
pour humilier mon mari, elles sont plus âgées que toi et plus grosse,
mais je trouve humiliant de le voir baiser des femmes qu’un mec normal
ne baiserait pas.
Sylvaine sourit
- tu sais que tu n’es pas la seule, j’ai quelques vieilles amies que
des hommes recherchent qui aiment être humiliés en devant leurs faire
faire des tas de cochonneries. Tout le monde à des fantasmes, moi c’est
de faire l’amour à des femmes qui peuvent faire plus jeune habillé comme
tu l’es maintenant, et qu’elles m’appellent mamie, alors tu vois……………
- oui très bien mamie, je lui réponds et je me penche vers elle pour
l’embrasser.
Je lui enlève son chemisier, je trouve une joli soutient gorge en
dentelle noire que je dégrafe, des gros seins lourd tombent sur son
ventre.
Je pense de nouveau à toi qui te jetterait dessus pour les téter.
Je lui enlève sa jupe en cuir en me mettant face à elle sur le lit.
Il ne lui reste plus que sa culotte en dentelle noire qui cache à peine
une grosse touffe de poils.
Je fais glisser doucement sa culotte sur ses cuisses et je découvre une
chatte grise et blanche pleine de poils desquels dépassent des grandes
lèvres qui pendent entre ses cuisses.
- tu me montres comment tu donnes du plaisir à ma Juliette
Je me demande si j’ai vraiment envie de la lécher, ce n’est pas trop mon
trip mais plutôt le tient me dit elle en me regardant. (Mais si c’est
devenu le mien c’est par obligation car je n’ai plus le droit de faire
l’amour à une femme dite normale)
Sylvaine me sort de ma torpeur,
- alors la chatte de mamie ne te plaît pas ? Tu n’es pas obligé de me
lécher, tu peux très bien rester au bord du lit et nous regarder nous
amuser avec Juliette.
Elle me sourit, elle attrape ses jambes dans chaque mains, elle se laisse
aller sur le dos les jambes en l’air,
- dernière chance ma chérie
je la vois les cuisses bien ouverte et je me rends compte que je suis
toute mouillée entre mes cuisses en les serrant un peu. Ce contact du
satin mouillée m’électrise les sens et je me penche sur cette chatte que
je n’aurais jamais pensé un jour lécher.
Je mets mon nez dans sa chatte, elle est poisseuse, elle a déjà bien
mouillée.
J’aspire ces grandes lèvres qui pendent. Puis avec ma langue je passe au
milieu et je trouve vite son clitoris qui est lui aussi est assez grand.
C’était comme si toute sa chatte avait une taille de plus qu’une petite
chatte normale.
Je le titille, l’aspire, passe ma langue dans sa chatte, sa mouille est
salé et épaisse. Mais l’odeur m’enivre et je la dévore.
De loin on entend un A TABLE
quand elle joui en me serrant entre ses cuisses.
- Huummmm je comprends pourquoi Juliette aime passer du temps dans tes
bras, tu es une bonne lécheuse, je suis sur que tu sais faire tout un tas
d’autres choses. Mais il est temps d’aller manger.
J’attrape le haut de son pyjama que je lui aide à mettre, il est aussi
serré que celui de Juliette et le mien, sauf que sur elle, il moule ses
seins au niveau de son ventre.
Le bas de pyjama s’enfile aussi dans sa chatte et son cul ce qui le fait
encore plus ressortir et montre comme il est gros.
Sa touffe de poils est aussi impressionnante à voir dans se pyjama.
Elle s’approche de moi
- Excuse moi je t’ai mis de la mouille partout, me dit elle en me léchant
le nez.
Nous partons mains dans la main dans la cuisine rejoindre Juliette, je me
dis que cette soirée pyjama entre fille démarre bien.
Nous dînons en parlant de l’incapacité des hommes à faire jouir une femme
qu’autrement qu’avec leurs grosses queues quand ils ont en une.
Au dessert Mamie propose de nous donner notre yaourt à chacune de nous
avec ses doigts.
Juliette dit oui tout de suite, et je la vois sucer les doigts de Sylvaine
avec plaisir à chaque fois qu’elle les met dans sa bouche.
Elle lui donne le pot à lécher avec sa langue pour finir.
Elle a du yaourt partout sur le visage, Sylviane la nettoie avec sa langue,
Puis c’est à mon tour et je prends aussi du plaisir à lécher ses doigts
plein de yaourt et des qu’elle en met exprès sur les joues elle en profite
pour me lécher le visage et sa langue passe sur mes lèvres,
Juliette se lève, je débarrasserais plus tard, si nous allions nous amuser
toutes les trois.
Nous nous levons et nous la suivons dans la chambre.
Elle se jette sur le lit, je la suis. Sylvaine reste debout devant nous.
Si vous montriez à mamie, comment vous jouez toutes les deux,
on ne se fait pas prier, en se jetant dans les bras l’une de l’autre et en
s’embrassant avec plaisir et volupté.
Nos mains parcours nos corps respectif. On se caresse tout en s’embrassant
Sylvaine se met à l’autre bout du lit et commence à se caresser dans son
pyjama en satin
Elle se caresse les seins, les malaxe assez fort, tire sur les pointes par
dessus le satin.
Et je vois son autre main passer entre ses cuisses et elle se branle
énergiquement.
Elle joui rapidement.
- Hummm ça va mieux, je vais pouvoir vous montrer ce que deux petites salope
sont censées faire pour plaire à leur gentille mamie.
Elle s’approche de nous, elle se colle derrière Juliette. Elle l’embrasse
dans le cou,
- tu sais ce que t’a appris mamie il faut te servir de tes mains pour donner
du plaisir à une femme, il ne faut pas que l’effleurer mais bien la caresser.
En lui disant cela, elle lui prends sa main et la pose sur mon sein droit,
- Appui dessus, il faut que tu sentes comme il est bien ferme ou souple.
Avec la main de Sylvaine par dessus la sienne, Juliette me masse fermement le
sein,
Sylvaine embrasse Juliette dans le cou et lui donne des petits coups de langue
sur sa nuque puis la lèche. Elle lui mordille le lobe de l’oreille.
Elle a enlevé sa main de celle de Juliette qui maintenant me caresse seule le
sein, puis elle passe à l’autre,
je tends ma bouche vers la sienne, nous nous embrassons et nous sentons une
autre langue qui veut se frayer un passage pour rejoindre les nôtres.
On se décolle légèrement et nos langues à toutes les trois se mélangent,
Sylvaine nous prend par les cheveux l’une et l’autre et nous donne du coup le
rythme qu’elle veut que l’on adopte.
Elle lâche ma tête pour prendre à nouveau la main de Juliette mais cette fois
c’est pour la mettre entre mes cuisses.
- frotte bien sa chatte avec toute ta main, sent comme elle mouille dans son
pyjama.
C’est sur qu’elle ne peut pas être plus prêt de ma chatte ses doigts rentrent
dans ma fente avec le satin.
Je suis trempée, je n’en peux plus je veux jouir. Ma langue retourne se mêler
aux leurs.
- a toi maintenant de faire comme Juliette, elle prend ma main et elle l’a pose
sur le sein de Juliette et elle appui fermement sur ma main pour que le contact
avec le sein soit vigoureux.
Juliette se laisse faire et apprécie, mes deux mains sont posées sur ses seins
et je les caresse en appuyant bien fort dessus.
Sylvaine prend l’une de mes mains et me l’a fait mettre entre les cuisses de
Juliette
- vas y n’ait pas peur, appui bien fort sur sa chatte elle aime ça.
Je ne me prive pas sa fente est aussi trempée que la mienne, sa mouille traverse
facilement le satin.
On s’embrasse à nouveau toutes les trois.
Sylvaine prend la main de Juliette et l’a met dans mon pyjama
- Branle la fait la jouir, elle n’attend que ça cette petite salope. Fait comme
je t’ai appris.
Et d’un seul coup je sens ses doigts me pénétrer, ils rentrent tout seule. Elle
bouge sa main dans tout les sens, elle est gêné dans son mouvement par le pyjama,
je sens bien qu’elle voudrait me baiser plus la chatte avec ses doigts et toute sa main.
Sylvaine et venue se mettre dans mon dos je suis assise contre elle les jambes bien
écartées.
- Déchire le s’il te gêne ma chérie
Juliette relève la tête pour voir si c’est à elle qu’elle parle,
- déchire le pour lui fouiller la chatte, je t’en achèterais un autre.
Elle ne se fait pas prier et déchire le pyjama à l’entre jambe ce qui me laisse la
chatte bien à l’air.
Maintenant tout ces doigts ont la possibilité de me fouiller entièrement la chatte et
elle ne se prive pas.
La main de Sylvaine vient se poser sur mon clito qu’elle branle aussi avec beaucoup de
fermeté.
Je penche la tête en arrière elle est posé contre l’épaule de Sylvaine et elle en profite
pour m’embrasser.
Et moi j’en profite pour jouir, ces deux filles qui me branlent la chatte et le clito sont
sur le point de me faire évanouir tellement c’est bonde jouir autant.
Juliette profite de ce moment pour me lécher la chatte, elle boit ma mouille alors que Sylvaine
me branle toujours le clito.
Ma femme me regarde, elle entrouvre ses cuisses, sa main descend doucement entre ses jambes,
elle passe ses doigts sur sa chatte, elle les remonte légèrement. Ils sont plein de mouille.
Tu veux les lécher, alors frotte ton cul sur le sol. Je m’active à faire ce qu’elle me demande,
le plug dans mon cul me rappelle que je ne suis qu’une merde de soumis et c’est en léchant les
doigts de ma femme tout en me frottant le cul par terre que j’ai joui une nouvelle fois dans ma
couche.
Elle en profite pour sortir la troisième capote et me l’a fait longuement lécher, tellement elle
est mouillée.
Elle l’a remet dans sa chatte,
- celle là tu l’a boiras sur ma chatte à la fin de mon histoire.
Elle me regarde droit dans les yeux et elle reprend son récit comme si de rien n’était.