Un soir en semaine, alors que je rentre du bureau ma femme me demande, d’enfiler une culotte en plastique, de prendre ma grosse tétine et de venir la rejoindre dans le salon.
Comme toujours je m’exécute. Dix minutes plus tard je suis assis par terre devant elle, avec une culotte en plastique jaune et ma grosse tétine dans la bouche.
- J’ai appris que tu as subi ta punition avec tatie, même si je trouve cela dégoûtant, je voulais te féliciter d’être aussi obéissant. Je vais donc te récompenser.
Elle prend mon téléphone et comme à chaque fois qu’elle me raconte une de ses soirée ou journée peut importe, elle le met en mode dictaphones pour que je puisse bien retranscrire ce qu’elle me dit.
- Ce soir tu vas pouvoir t’asticoter ton petit bout de mou autant de fois que tu le veux pendant que je te raconte ma soirée avec le père d’Hervé
Je la regarde mes yeux doivent crier merci, je vais enfin pouvoir jouir autrement que dans ma couche.
- Comme tu le sais mon cocu, Henri est venu me chercher à la maison. Dès que je suis monté dans sa voiture, je me suis penché vers lui pour l’embrasser, mais un baiser tendre et sensuel, pour le remercier de m’emmener en weekend.
Je crois que je l’ai un peu surpris, mais j’ai bien senti qu’il s’est vite repris.
Rapidement pendant le voyage il a posé sa main sur ma cuisse, il faut dire que ma robe était tellement courte qu’une fois assise on pouvait presque voir ma petite culotte. Je sais ce n’est pas bien mais j’adore tellement exciter les hommes.
Tu sais comment est ta maman une vraie salope.
Enfin sa main n’a jamais été ailleurs que sur ma cuisse pendant le trajet.
Vers 21 heures nous sommes arrivés dans un relais château pour faire le trajet de Clermont à Arcachon en deux fois.
La chambre était fabuleuse, nous avons dîné sur place.
Il y avait une quinzaine de personne, mais je voyais bien que certain nous regardaient, car on voyait quand même la différence d’âge et j’ai tout fait pour qu’il n’y ait aucun doute sur le fait que nous étions amant.
Même si cela n’était pas encore vraiment le cas. Mais c’était une question d’heures.
Mon pied rejoignait le sien de temps en temps. Je lui tendais ma main qu’il prenait avec plaisir.
Quand nous nous sommes levés de table, je me suis approché de lui et je l’ai embrassé toujours avec beaucoup de sensualité. Puis main dans la main nous sommes sortis du restaurant pour monter dans notre chambre.
En jetant un coup d’œil dans la salle j’ai vu quelques mâles qui nous regardaient et qui n’avaient surement aucun doute sur ce qui allait suivre.
Ils n’ont pas eu tord, une fois dans la chambre, Henri m’a prise par la taille, il m’a collé contre lui, ses yeux étaient plongés dans les miens, ses mains se sont posées sur mon visage qu’il l’a caressé doucement, il les a ensuite passées dans mes cheveux et tout aussi doucement il a posé ses lèvres contre les miennes pour échangé un baiser passionné.
Ses mains sont restées sur mon visage, il m’a fait ressentir le désir qu’il avait de m’embrasser, de me toucher depuis les années ou j’étais à la fac avec son fils.
Jamais un homme ne m’avait fait ressentir dans un baiser et avec juste quelques gestes l’envie de m’avoir dans ses bras pour me faire l’amour.
Pour la première fois depuis des années j’ai senti qu’on allait me faire l’amour et ne pas me baiser comme une salope, une pute que l’on veut absolument fourrer. Comme le fait son fils et ses copains ou mes autres amants d’un soir.
Les gestes d’Henri sont doux et posés. Ses mains descendent doucement sur mes épaules, puis dans mon dos, se pose sur mes hanches et caressent le haut de mes cuisses.
A aucun moment elles ne sont venues se poser sur mes seins, mes fesses ou on sexe.
Il nous a fait basculer lentement sur le lit, ou il a joué avec mon corps de la même manière.
J’ai voulu à mon tour le toucher et mettre ma main sur sa braguette, il l’a retiré doucement, en me disant
- Tu es a moi pour cette nuit, laisse moi m’occuper de toi, j’en ai eu envie il y a si longtemps.
Sa bouche revient se poser sur la mienne et nos langues font de mieux en mieux connaissances jusqu’à ce que ce baiser devienne une véritable osmose entre nos deux bouches.
Seulement à ce moment là j’ai senti sa main commencer à passer sur mes seins doucement puis de plus en plus fermement, et elle a ensuite glissé entre mes cuisses pour trouver ma petite culotte et jouer avec mon sexe par-dessus.
C’est quand il a du trouver mon string assez mouillée que ses doigts sont passés sous la culotte en effleurant mon sexe , en jouant avec mon clito et un bon quart d’heure après, seulement ces doigts se sont introduit en moi.
Je n’en pouvais plus et j’étais prête à faire n’importe quoi de ce qu’il m’aurait demandé pour qu’il me pénètre avec sa queue.
Mais rien de cela, il a continué de me caresser tout en me déshabillant doucement.
De temps en temps ses doigts repassaient par mon entre jambe, et plein de mouille il me les faisait lécher un par un, tout en m’embrassant juste derrière.
Nue allongé sur le lit, il s’est mis debout, devant moi.
Je le regardais enlever sa veste puis sa chemise, il est super bien fait pour son âge, un torse velu de poils blanc et gris.
Des abdos très bien dessiné.
- Caresse toi ma belle, mais sans te faire jouir.
Je ne me suis pas faite prier et mes mains ont vite rejoins mes seins et ma chatte trempée de mouille. Je titillais mon clito mais je sentais que je montais vite alors mes doigts remonter sur mon autre sein.
Lui il baisse son pantalon, son caleçon laisse apparaitre un sexe bien tendu et de belle taille comme je l’espérais.
Il fait glisser doucement le long de ses jambes son caleçon, et un beau membre bien tendu fait fasse à moi. Il est aussi beau et gros que celui de son fils, je ne vais pas être déçu, car il à l’air de s’en servir autrement que pour fourrer une chatte.
Je ne me suis pas trompé, il prend son sexe dans sa main, le gland est mouillée, il se branle devant moi tranquillement, en même temps que moi.
- Tu es magnifique et je sens bien que tu es aussi très sensuelle, je veux que tu te laisses aller, je veux jouer avec ton corps qu’il soit réceptifs à mon désir de te donner du plaisir
- Ohh je t’assure qu’il n’y aura aucun problème
- Ok a aucun moment je ne veux te voir me toucher, c’est moi qui conduit nos corps aux désirs que je veux leurs donner.
- Très bien Henri je suis toute à toi, soumise à tes moindre désirs.
Tout en continuant de se masturber devant moi, son sexe vient à peine effleurer le mien, son autre main caresse ma cuisse, le haut de mon sexe, il vient caresser mon clito.
Je n’en peux plus mes doigts commencent à pénétrer sauvagement ma chatte, un bruit de mouille se fait entendre, tellement je suis excité.
Il se penche en avant pour de sa main libre caresser mes seins, il tire sur les pointes.
Du coup son sexe est beaucoup plus prêt du mien, et je sens la chaleur de son gland contre mon clito, il bouge sa queue de haut en bas en l’appuyant bien sur mon clito et dans un grand cri de jouissance je me laisse aller à ce premier orgasme qu’il augmente en tirant bien fort sur mes tétons.
Je me mords les lèvres j’ai tellement crié fort sans m’en rendre compte, que j’ai du alerter tout l’hôtel.
Il me regarde il a un grand sourire, il se redresse, il prend son sexe dans sa main, maintenant il le frotte bien contre le mien,
Il écarte mes lèvres avec son gland, je le veux en moi je n’en peux plus mais à chaque fois que j’avance mon bassin lui se pousse en arrière.
Il prend ma main, le pose sur son sexe, il est dur et chaud
- A toi de me branler et de jouer avec contre ton sexe mais tu ne te l’enfiles pas
Je le branle doucement, il est tellement dur, je frotte son gland contre mon clito, je veux jouir à nouveau
- Non, non pas comme ça
Alors je reprends les mouvements de son sexe contre le mien. Je n’en peux plus je mouille tellement.
Il m’arrête dans mon geste, il prend son sexe et le pose contre ma chatte.
Il se penche sur moi, il m’embrasse, nos langues maintenant se trouve avec plaisir,
Son corps et posé contre le mien, il est chaud et lourd sur moi et tout doucement il enfile sa queue dans ma chatte, je sens son gland me pénétrer et avant que son bassin n’est rejoint le mien je joui à nouveau dans un grand cri de plaisir.
Il n’a fait que me pénétrer, mettre son sexe chaud et dur dans le mien et j’ai joui.
Il m’embrasse et nous restons comme cela un long moment et son sexe me rempli bien ma chatte.
Ma femme me regarde, j’ai déjà joui deux fois dans ma culotte en plastique, je suis rouge tellement je suis excité
- Tu sais la ce ne sont que de vrai prélimaire dans quel état tu vas être quand je vais te raconter comment il m’a fait l’amour toute la nuit
A travers ma culotte en plastique je sentais mon petit clito tout gluant et j’étais bien. J’attendais la suite avec impatiente