Un soir la semaine qui a suivi le weekend chez mamie, il s’est tenu à la maison un conseil de discipline me concernant, entre maman et tatie pour connaître les suites de mon incompétence à faire jouir une femme, même de 76 ans.
La punition en cas d’échec était un lavement avec deux litres de lait chaud, et pour seul vêtement une culotte en plastique et un legging par-dessus. Et d’aller dans le parc à côté de chez nous pour me vider toute seule avant de revenir voir tatie.
En cas de réussite la possibilité de sucer le beau biberon de tatie avec de la chantilly.
Tatie montre à maman la feuille de « satisfaction de Fernande »
- Je me suis tout de suite rendu compte qu’il y avait un souci, vous voyez les notes ça ne correspond en rien au minable de cocu qu’est votre mari pour satisfaire une femme.
- Oui je suis bien d’accord, la seule vraie note doit être celle du cuni, la je sais que ce bâtard est doué, je lui ai bien appris à ce servir de sa langue.
- La je vous laisse seule juge, mais il y a aussi le fait qu’il ait voulu sauver sa peau pour ne pas être puni en prenant un deal avec mon amie.
- Je suis bien d’accord avec vous Alisone, et je me pose la question si nous devons tenir compte qu’il vous ait avoué dans la voiture son petit manège avec Fernande.
- C’est peut être juste de peur que je ne l’apprenne par elle.
- Oui c’est vrai aussi, vous avez raison.
Moi je suis assise par terre devant le canapé, où elles discutent toutes les deux de moi, enfin non de Marc.
Je suis en bébé, dans mon parc,
Tatie reprend la parole
- C’est tellement dommage, la récompense pour mon bébé était tellement excitante pour elle et moi que je pensais que cela suffirait pour aider votre cocu à vouloir aide Jennyfer à passer un très bon moment avec sa tatie.
- Vu la punition je pensais aussi que cela le motiverait un minimum. Mais c’est un minable au lit avec sa petite bite
- Alors que faisons-nous ?
- Moi je maintiendrais la punition de base mais je la modifierais un peu pour le fait d’avoir avoué sa triche.
- Je suis d’accord avec vous, j’enlève le legging et d’aller se vider dans le parc au bout de la rue, je garde le lavement et la culotte en plastique, mais je lui impose une position humiliante pour se vider, qu’en pensez vous
- Oui pourquoi pas cela peut être une solution
- J’ai déjà cherché quelques positions
Elle allume l’ordinateur portable posé sur la table basse.
- Je vous montre et vous me donnez votre avis
- Oui avec plaisir Alisone
Elle regarde toutes les deux l’ordinateur. Elles discutent des différentes photos que montre Alisone à maman.
A chaque image, j’entends les jambes serrées ou écartées ; Celle là est encore plus humiliante, Ohh et celle là alors,
Debout, allongé, assise, les fesses en l’air, tout y passe du moment que cela fasse en sorte que ma culotte se remplisse bien et que je sois toute sale, et tant pis, je dirais même tant mieux si ça fuit.
- Bien avec tout cela ce n’est pas facile de prendre une décision
- Oui je sais Madame c’est pour cela que je voulais vous demander votre avis.
- Ecoutez, moi je prendrais celle-ci, mais en rajoutant
Maman se rapproche de l’oreille de tatie et elle lui murmure quelques chose, mais tout en me regardant dans mon parc.
Je la connais bien ce n’est pas un cadeau pour moi
Tatie l’écoute attentivement
- J’adore vous êtes encore plus vicieuse que moi
- Depuis que nous partageons de temps en temps mon lit entre fille, vous avez quand même du vous en apercevoir
- Ohhh oui, mais là vous avez une superbe idée, merci beaucoup.
- Mais de rien Alisone, si je peux aider à humilier ma larve de cocu, c’est toujours avec plaisir.
Elles me regardent toute les deux avec un grand sourire et des yeux qui brillent, maman pose sa main sous le tablier de tatie
- si nous allions fêter cela toute les deux dans ma chambre, notre bébé ne craint rien dans son parc. Moi tout cela m’a excité
Elles se lèvent et partent ensemble dans la chambre de maman et me laisse toute seule dans le salon, avec en tête de savoir quelle position, elles vont m’imposer mais surtout qu’elle est l’idée supplémentaire perverse de maman.