La journée du samedi passe tant bien que mal, je mets à jours mon blog pour le récit « préparation du weekend 15 et 16 juin. »
Je mets des textes sur des photos en retard que m’envoie régulièrement maman et maintenant tatie, pour le tumblr et Bdsmlr.
Midi, je commence un peu à angoisser, c’est vrai que j’ai déjà du baiser des vieilles, mais cela remonte déjà un peu et à l’époque j’arrivais quand même mieux à bander. Et puis la punition n’était pas aussi sévère et humiliante pour moi.
Je me tonds un peu le pubis, je prends une douche. Et je m’habille normalement pour une fois. Pas de culotte de fille, ou de couche sous mon pantalon.
Je prépare ma trousse de toilette, avec une tenue pour demain.
Je regarde quelques épisodes d’une série à la télé pour me changer les idées.
17h15, on sonne à la porte. J’ouvre et je suis devant Alain.
- Salut le cocu ça va, tu es en forme
- Heeuuu bonjour oui ça va.
- T’en fait une tête ce n’est pas ta première vieille que tu vas baiser
- Oui c’est vrai, mais en âge et en mensuration si.
- Une vieille c’est une vieille tu ne vas pas faire la fine bouche.
Il est en pleine forme lui par contre.
- N’oublie pas ton cadeau, et prend aussi une bouteille de champagne, on va s’arrêter sur la route pour que tu achètes des fleurs, au cas où tu sois minable cette nuit, elle n’aura pas tout perdu.
Sa blague le fait rire, et d’ailleurs je me demande si c’est vraiment une blague.
Nous prenons la route, il s’arrête chez un fleuriste, je prends un beau bouquet de fleurs. Et nous partons dans le Sancy.
Il me raconte qu’il connaît Fernandes depuis 15 ans un peu avant qu’elle ne perde son mari. Ils s’étaient rencontrer via un ami commun et puis ils avaient bien sympathisé, jusqu’à être de véritable amis partageant beaucoup de chose ensemble. Mais quand même pas le fait que lui aimait se travestir et encore moi s’occuper de petit bébé comme moi.
Quelques silences s’installent dans la voiture
Je connais bien le coin j’y vole souvent en parapente.
Nous arrivons à côté de St Nectaire, une maison isolé avec quelques poules et canard autour.
Avant de sortir de la voiture Alain me dit
- Ecoute si tu ne réussis pas à lui faire l’amour et à la faire jouir, je ne t’en voudrais pas car pour moi ce qui compte vraiment c’est de faire un gros lavement à mon bébé et de l’a voir marinée dans sa culotte en plastique pleine de popo. Surtout avec un legging bien serré par-dessus.
Au moins les choses sont claires.
Nous descendons de la voiture, Alain prend la bouteille de champagne, moi le cadeau et les fleurs.
Il frappe à la porte, elle s’ouvre, une vieille femme apparait un peu voutée, cheveux gris et blanc coupé en carré, en bataille. Elle porte une blouse bleue et rose pale, comme en voit sur les marchés pour les mamies de la ferme.
Son visage est bien ridé mais très souriant, quand à ses formes, je dirais plutôt qu’il y en a qu’une des épaules au fesses.
Alain prend la parole
- Salut ma beauté comment vas-tu,
- Quel beau parleur celui là comme toujours
- Je te présente Marc, le gars donc je t’ai parlé qui adore les belles grand-mère comme toi ma chérie.
Il est plus que familier avec elle.
- Bonjour Marc, moi c’est Fernande
- Bonjours Madame, heu Fernande
- Oui c’est mieux, car Madame vu que nous allons passer la soirée ensemble, ça ne me semble pas justifié.
- Tu sais Marc est un peu introverti et très timide, donc à toi de prendre les reines en main de votre soirée, après le dîner
- Très bien s’est noté, mais vous n’allez pas rester dehors entrez donc.
Nous entrons dans la maison, une odeur de moisi ou de renfermé est la première chose qui me monte aux narines.
Un bref coup d’œil sur l’ensemble de la pièce, montre que l’on est bien à la campagne une grande pièce à vivre avec le poêle à bois qui sert aussi de cuisinière. Une grande table au milieu, dans un coin un canapé avec une télé en face.
La table est mise sur une nappe cirée avec ces carreaux rouges et noirs.
2 chaises en bois à chaque extrémité de la table et un banc de chaque côté de la longueur de la table
Il y a une grande horloge avec le tic tac du balancier.
Alain donne la bouteille de champagne à Fernande, moi je lui offre les fleurs.
Pour me remercier elle me pose un baiser sur les lèvres, je suis plus que surpris.
Je lui donne aussi son cadeau, Alain dit
- Ah ça tu l’ouvriras que je serais parti, c’est plus personnel que le champagne et les fleurs
- Ok alors plus tard pour le petit cadeau, en tout cas merci, cela me fait plaisir Marc
- De rien c’est normal. Je ne vois pas grand-chose d’autre à dire.
J’ai la net que tant qu’Alain sera la, la discussion sera animé, mais une fois parti, je ne vois pas bien ce que je vais pouvoir lui raconter.
Nous prenons l’apéro tous les trois en buvant la bouteille de champagne.
A 20h15 nous passons à table, terrine, charcuterie et coq au vin, fromage, tout est top, un vrai régale. Nous avons discuté de tout et de rien.
21h20, Alain se lève de table
- Bon je dois y aller je me lève tôt demain pour le boulot et j’ai encore une heure de route pour rentrer.
Moi c’est le moment que je redoutais le plus, de me retrouver tout seul avec Fernande, et je suis bien loin de la chanson qui me trotte dans la tête depuis que je connais son nom. « quand je vois Fernande je BANDE »
Il y a vraiment rien pour me faire bander.
Alain s’en va en poussant un grand
- Passez une bonne nuit tout les deux à demain 18h00.
Fernande referme la porte, elle commence à débarrasser la table je me lève pour l’aider
- Tu es mignon, mais ici les hommes ne sont pas la pour ça.
Dans ma tête je pense que pour autre chose non plus.
Elle vient vers moi, elle se colle à moi
- Alors si j’ai bien compris ce qu’a dit Alain, je dois prendre les choses en main, tu sais pour moi non plus ce n’est pas facile, c’est la première fois qu’un homme reste ici pour la nuit depuis que mon mari est décédé et je n’ai jamais eu d’autre homme dans ma vie que lui. Ce n’était pas non plus un homme porté sur la bagatelle.
Elle est plus petite que moi, elle lève donc la tête pour me parler, moi je baisse la mienne pour la regarder.
Elle entre ouvre les lèvres pour m’embrasser.
Je sais que je suis là pour cela alors, je colle mes lèvres contre les siennes et nous échangeons ce premier baiser.
Nos langues se cherchent plus qu’elles ne se trouvent. Par contre sa main trouve facilement mon entre jambe et se colle bien dessus.
Nos langues commencent à trouver un rythme commun et notre baiser devient un vrai baiser. Sa langue s’active vraiment autour de la mienne. Sa main monte et descend sur ma braguette.
Je n’y crois pas mais je bande doucement sous sa caresse.
Mes mains ne restent pas inactives, je les poses sur ses fesses. Je sens de gros bourrelets tout en remontant dans son dos.
Elle se décolle de moi
- Je te fais de l’effet, tu vois je n’y croyais pas. Alors je l’ouvre ce cadeau
- Oui vas’y.
Elle défait le nœud arrache le papier et ouvre la boite.
Elle sort le soutien gorge et la culotte.
- Ohh c’est joli, merci, je n’ai pas vraiment de lingerie ici, plutôt de vieille culotte de grand-mère
Elle lève son tablier joignant le geste à la parole pour me montrer ce qu’elle porte. Et je vois une vieille culotte en coton gris dont tout un tas de poils dépassent.
- Je vais les mettre et je reviens, installe toi sur le canapé,
Je transpire comme à chaque fois que je ne suis pas dans une situation idéale pour moi.
J’attends un bon quart d’heure avant qu’elle ne revienne.
La vision est incroyable, même avec le soutien gorge, elle a les seins sur le ventre, et le haut de la culotte est cachée par deux bourrelets.
Quand à la culotte, une grosse touffe de poils fait une bosse sur le devant et il en dépasse autant sur les côtés.
Elle vient se poser face à moi.
- Alors je te plais, ça me va bien.
Je ne peux pas dire non et encore moins oui, alors je me jette sur ses deux seins qui sont juste à hauteur de ma bouche et je les prends dans mes mains.
Ça je sais que ça peut m’exciter, même si je ne suis pas venue ici pour trouver une nounou et je ne suis pas Jennyfer ce soir.
Elle prend ma tête dans ses mains.
- ohh oui fait moi tout ce que tu veux.
Je caresse ses seins, ses bourrelets, Mes mains passent sur ses fesses. Je les malaxe,
Je sors un sein du soutien gorge et je tète la pointe, je l’aspire et je la pince avec mes dents doucement.
Ça à l’air de lui plaire puisqu’elle gémit doucement. Elle est toujours debout devant moi.
Elle m’attrape par les bras,
- vient dans la chambre, on sera mieux.
Je la suis, la vision de dos n’est pas non plus très attrayante. Cela ressemble tellement aux photos que je vois sur le net et qui pourtant m’excitées.
Mais la me retrouver vraiment devant une vieille comme ça, je me rends compte qu’il y a bien un monde entre le fantasme et le virtuel.
On entre dans la chambre, son tablier et sa culotte sont posés sur le lit, elle les prend et les posent sur une commode.
Elle s’allonge sur le lit, je me déshabille, je reste en caleçon et je la rejoins sur le lit.
Elle me tend les bras, je ne mets contre elle et nous nous embrassons à nouveau.
PS Alain c’est donné beaucoup de mal le dimanche pour trouver la lingerie acheté pour Fernande la voici en photo sauf que bien entendu ça ne rendait pas du tout comme ça